Dans le cadre du Programme pour l’évaluation internationale des compétences des adultes (PEICA), la littératie est définie comme la « capacité de comprendre, d’évaluer, d’utiliser et de s’engager dans des textes écrits pour participer à la société, pour accomplir ses objectifs et pour développer ses connaissances et son potentiel. » (OCDE, 2013) Cette définition fait référence à l’évaluation des compétences clés en traitement de l’information définies par le PEICA. Cependant, au-delà des résultats qui la soutiennent, la littératie se présente comme une notion complexe, dont l’utilité ne se limite pas à établir une distinction entre les personnes « qui savent lire » et les personnes « analphabètes ».
Dans le cadre du Programme pour l’évaluation internationale des compétences des adultes (PEICA), la littératie est définie comme la « capacité de comprendre, d’évaluer, d’utiliser et de s’engager dans des textes écrits pour participer à la société, pour accomplir ses objectifs et pour développer ses connaissances et son potentiel. » (OCDE, 2013) Cette définition fait référence à l’évaluation des compétences clés en traitement de l’information définies par le PEICA.
Depuis plus de dix ans, novembre est le mois de la littératie financière. Mais qu’est-ce que la littératie financière? Comment définir cette déclinaison de la littératie qui est un sujet d’intérêt pour des institutions bancaires, des organismes des milieux de la finance, les gouvernements et leurs agences en matière de finance, de consommation, ainsi que les adultes?
Un récent portrait produit par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) met en lumière les faibles compétences de base en traitement de l’information de la vaste majorité (90 %) des adultes québécois de 18 à 65 ans qui n’ont pas de diplôme d’études secondaires (DES). Inversement, ce portrait révèle qu’à peine 10 % des adultes sans diplôme atteignent le niveau 3 ou plus de littératie et de numératie.
Vendredi dernier, le 8 septembre, avait lieu la journée internationale de l'alphabétisation. Dans la foulée de cette journée, l'ICÉA réagit à un texte de monsieur Pierre Fortin, économiste, qui traitait du niveau d’analphabétisme au Québec. Le texte de M. Fortin a été publié en juillet dernier dans l'Actualité. L’idée principale de son papier consiste à dire qu’il est franchement exagéré d’avancer que 53 % de la population québécoise est analphabète fonctionnelle.
Si l'on peut être d'accord avec le fait que le portrait est plus nuancé, on doit aspirer à augmenter les niveaux de compétences de plus de la moitié de la population québécoise. Pour ce faire, il faut que le gouvernenent adopte une vision de l'éducation qui se trame tout au long et tout au large de la vie.
En présence d'une cinquantaine de personnes réunies au Centre Saint-Pierre, le président de l'ICÉA, monsieur Pierre Doray, a procédé hier au lancement de la publication en ligne de l'ICÉA intitulée Apprendre + Agir. Cette publication et son contenu renforcent, selon monsieur Doray, la fonction de veille informationnelle en éducation des adultes que l'ICÉA occupe depuis près de 70 ans. La nouvelle publication en ligne de l'ICÉA propose deux articles de fond portant sur des questions d’actualité ainsi 21 indicateurs dressant un portrait de la situation de l’éducation des adultes au Québec. 
Du 25 au 27 juin dernier, l’ICÉA participait à l’Institut d’été 2014 organisé conjointement par The Centre for Literacy, le Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine (CDEACF) et le Réseau pour le développement de l’alphabétisme et des compétences (RESDAC). À l’occasion de cet événement intitulé Exploiter les données du PEICA : alimenter la recherche, soutenir les pratiques, l’ICÉA a présenté 15 clés permettant de parvenir à une meilleure interprétation des résultats du PEICA. Voici la version longue de la communication présentée par l'ICÉA à cette occasion.
Cette lettre d'opinion est cosignée par huit organsiations. Une décennie après la dernière enquête sur la littératie, l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) publie un nouveau portrait du niveau des compétences des adultes dans les pays développés. Les données pour le Québec confirment que le défi reste entier puisqu'une personne sur cinq éprouve toujours des difficultés majeures à comprendre et à utiliser un texte écrit.
