Un Québec apprenant doit renforcer la reconnaissance publique et politique de l’éducation et de la formation des adultes.
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?:
Continuer impérativement « La Semaine québécoise des apprenants adultes » ;
Créer des alliances formelles avec la Fondation pour l'alphabétisation des adultes, notamment au sein du C.A. de l'ICÉA ;
Élargir les partenariats avec les regroupements d'employeurs, au sein même de l'ICÉA, lesquels sont souvent réfractaires à la formation de leur main-d'œuvre surtout dans les PME ;
Publiciser, à l'aide des réseaux sociaux, l'importance d'une telle reconnaissance ;
Renforcer l'alliance historique avec Le Devoir, en publiant des articles de vulgarisation scientifique, des comptes rendus d'activités diverses dont La Semaine des adultes apprenants, et en publier deux fois l'an un Cahier spécial sur l'éducation et la formation continue des adultes ;
Faire circuler largement le Bulletin de l'ICÉA dans La Presse et Le Soleil, ayant un plus large lectorat au Québec., sur la base d'une alliance formelle avec ces quotidiens.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?:
Continuer de demander la subvention annuelle du MELS quant à la Semaine québécoise des adultes apprenants ;
Continuer de demander des subventions au Ministère de l'Emploi et de la Solidarité, cosignataire et coresponsable de la Politique d'éducation et de formation continue des adultes ;
Élargir un partenariat formel avec le Ministère des municipalités et des régions, afin que les MRC et les établissements scolaires travaillent ensemble et établissent des ententes sur la relation formation-emploi en fonction des réalités régionales.