Nouvel appel : offre d'emploi d'agent-e de communication et de commandite
L’Institut de coopération pour l’éducation des adultes (ICÉA), une organisation solidement ancrée au Québec depuis plus de 65 ans. Il regroupe les intervenantes et intervenants principaux engagés en formation des adultes (milieu de travail, milieux de l’enseignement, milieux communautaire et culturel, etc.) et œuvre à promouvoir le droit des adultes à l’éducation tout au long de la vie. Il est à la recherche d’un ou d’une agente de communication pour l’aider dans l’organisation de la IXe Assemblée mondiale en éducation et formation des adultes qui aura lieu à l’Université de Montréal, du 11 au 14 juin 2015.
Une décision qui devait être rendue initialement au cours de l’été 2014 vient d’être communiquée par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC). Il s’agit du dossier de plainte déposée par Télévision communautaire indépendante de Montréal (TVCI) contre Vidéotron et sa chaîne MAtv. Tout en donnant raison en bonne partie à la plainte, le CRTC offre à Vidéotron de s’amender. L‘entreprise doit mettre en place un comité impliquant les organisations sociales de la grande région de Montréal d’ici la mi-mars.
Afin de mieux connaître l’importance que revêt l’apprentissage dans l’épanouissement des communautés francophones en situation minoritaire (CFSM) au Canada, le RESDAC et l’ICÉA ont récemment lancé une consultation en ligne. Cette démarche vise à dresser un portrait de la situation de l’éducation et de la formation des adultes et à cerner les divers obstacles au développement des capacités et des compétences chez les adultes francophones des CFSM. (Lire la suite de l'article pour accéder à la consultation en ligne.)
L’ICÉA partage une initiative du Regroupement des groupes populaires en alphabétisation du Québec (RGPAQ). Il s’agit d’un outil pour animer une démarche de réflexion sur les effets des politiques d'austérité. L’outil a été conçu par le RGPAQ pour des groupes travaillant avec des personnes peu alphabétisées. Ce document pourra être utile aux groupes souhaitant mener une telle démarche avec leurs membres.
L’ICÉA joint sa voix à celles des nombreux organismes réunis dans le collectif « Refusons l’austérité! » qui dénoncent vigoureusement les politiques néolibérales du gouvernement Couillard.
Pour tout suivre sur les développement de l'Assemblée mondiale,
Depuis quelques semaines, plusieurs interventions publiques, provenant essentiellement des milieux patronaux, contestent la pertinence de la loi sur la formation de la main-d’œuvre en emploi, aussi appelé la loi du 1 %. Pour leurs auteurs, comme Martine Hébert, de la Fédération canadienne des entreprises indépendantes, et Françoise Bertrand, de la Fédération des chambres de commerce du Québec, le diagnostic est clair : celle loi est un échec et il convient donc de l’abolir. En contrepartie, les entreprises accepteraient d’accueillir davantage de stagiaires. Ces propos appellent plusieurs remarques qui interrogent autant le diagnostic que la proposition alternative. Pierre Doray et Félix Simoneau, du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (UQAM), signent ici un plaidoyer en faveur de la structuration de la formation de la main-d'oeuvre au Québec.
Depuis l’automne 2014, la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre, aussi appelée « loi du 1 % », a été remise en question par certaines organisations patronales. En réaction à ces critiques, qui appellent des interrogations tant sur le diagnostic posé que sur les propositions faites pour corriger la situation, les membres du conseil d'administration de l'ICEA ont adoptée, le 27 janvier dernier, une lettre préparée par Pierre Doray, président de l'Institut et l'équipe de travail. Cette lettre a été publiée le lundi 2 février par le Huffington Post Québec.