Pourquoi des personnes immigrantes détenant un diplôme professionnel acquis à l’extérieur du Québec n’occupent pas un emploi dans son domaine d’étude? La reconnaissance des diplômes et des expériences professionnelles hors Québec en est l’un des facteurs. Cet article fait état d’études récentes sur cette question.
Depuis la dernière campagne électorale au Québec, les débats sur l’immigration ont repris de plus belle. Dans ce contexte, l’éducation des adultes devient un outil précieux tant pour favoriser le vivre ensemble que pour mieux accueillir les personnes immigrantes.
Le 9 mai dernier, près de quatre-vingt-dix personnes ont assisté à la table ronde organisée par l’ICÉA. Cette activité webdiffusée grâce à la collaboration du CDEACF abordait les réalités éducatives des personnes immigrantes, des Autochtones et des personnes en situation de handicap. Le grand nombre de participantes et participants démontre l’intérêt grandissant que suscitent les groupes qui sont marginalisés sur le plan éducatif.
Au Québec, les personnes immigrantes sont, globalement, plus scolarisées que les personnes nées au Canada. Cependant, elles sont deux fois plus au chômage que les personnes natives et elles sont moins présentes en emploi. Leur revenu moyen était de 10 000$ de moins en 2011. Le présent article donne des clés pour comprendre ce paradoxe.
Connaissez-vous le niveau d’éducation des Autochtones et Inuits hors communauté, des personnes immigrantes et des personnes en situation de handicap? Savez-vous quels sont les obstacles auxquels ces personnes font face? Êtes-vous au courant des solutions formulées pour répondre aux besoins de ces groupes sociaux? Le 9 mai prochain, l’ICÉA organise une activité qui portera sur ces réalités. Lisez la suite pour plus de détails.
