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Un Québec apprenant doit renforcer la reconnaissance publique et politique de l’éducation et de la formation des adultes.
Ajoutez votre opinionFormation de base pour le développement de la main-d oeuvre - Lundi 22 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Poursuivre et intensifier les campagnes publicitaires sur la formation des adultes en démontrant les résultats concrets de ces apprentissages sur et pour l'apprenant, mais en démontrant aussi de quelles mille et une façons ces investissements rapporteront à l’ensemble de la société.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Prouver, avec chiffres à l’appui, aux instances gouvernementales et aux lobbyistes représentant le milieu des affaires, que les sommes investies dans la formation des adultes sont rentables à plusieurs niveaux. L’enrichissement des compétences des adultes (compétences de base, essentielles, professionnelles, etc.) favorise le maintien et la mobilité en emploi, accroît la productivité, diminue les coûts sur le système de santé et sur les services sociaux, assure une saine croissance socioéconomique des générations futures, etc.
Il serait également intéressant de démontrer que les formations offertes dans des lieux informels d’apprentissage (milieux de travail) avec des fournisseurs de services de formation non gouvernementaux sont tout aussi qualifiantes et devraient être reconnues.
Il serait également intéressant de démontrer que les formations offertes dans des lieux informels d’apprentissage (milieux de travail) avec des fournisseurs de services de formation non gouvernementaux sont tout aussi qualifiantes et devraient être reconnues.
Judith Bujold - Lundi 22 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
IL faut valoriser la formation (campagne nationale ???) et la rendfre davantage accessible. Par exemple, un adulte de 25 ans qui décide de retourner sur les bancs d'école à temps plein, au secondaire régulier pour réussir les préalables à un DEP ou DEC, n'a pas accès à du financement de l'AFE. Il ne peut pas continuer à payer son logement, sa voiture, élever ses enfants, etc. Le manque de financement est un véritable frein à l'amélioration de ses conditions de vie. Un autre exemple, un adulte de 30 ans veut aller chercher son diplôme d'études secondaire pour avoir accès à de meilleurs emplois (comme dans le secteur minier du Plan Nord), il n'a pas de revenus pour pouvoir aller à l'école. Emploi Québec ne reconnait pas ce genre de situation...
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
IL faudrait voir la formation aux adultes comme une OCCUPATION, reconnaître la valeur de la formation pour pouvoir la financer davantage... Un diplôme ça donne des ailes ! C'est important !
Lucille Roy - Lundi 22 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
- Il faut que l’ensemble des acteurs de l’éducation et de la formation des adultes au Québec travaillent en collaboration ou en partenariat pour favoriser réellement l’apprentissage tout au long de la vie et ce, d’abord pour les adultes qui se trouvent au début de la chaîne, c’est-à-dire en alphabétisation.
- La société doit aussi reconnaître le caractère urgent de la lutte contre l'analphabétisme au Québec et pour ce, le gouvernement doit être le chef de file de cette reconnaissance.
- La société doit aussi reconnaître le caractère urgent de la lutte contre l'analphabétisme au Québec et pour ce, le gouvernement doit être le chef de file de cette reconnaissance.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Permettez-moi, ici, d’être à mon tour sceptique. La décennie ’90 devait être celle où l’on se donnait les moyens pour diminuer considérablement le taux d’analphabétisme. Vint ensuite le 21e siècle et ,au Québec, la PGEAFC et son Plan d’action (le seul d’ailleurs…), où l’on reconnaissait pour une première fois, le réseau d’éducation non-formelle et où, une fois encore, on devait tout mettre en oeuvre pour favoriser l’apprentissage tout au long de la vie…Selon moi, l’oeuvre n’a été que littéraire et tablettée... Où en sommes-nous, presque 25 ans plus tard, un quart de siècle, avec tous ces vœux pieux?
Actuellement, nous nous retrouvons, une fois encore, en période d’incertitude économique, de désengagement de l’État sous toutes ces formes, difficile de tabler sur une formule idéale mais on peut toujours rêver; ça ne coûte rien. Alors, je me permets de rêver, et sur ce rêve, je rejoins le discours d’une collègue, madame Caroline Meunier, à savoir qu’un gouvernement responsable et réaliste qui ne se cache pas la tête dans le sable avec les données de l’ÉIACA, 2003, devrait mettre de l’avant une stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme et de cette stratégie devra découler des actions tangibles qui auront un effet réel sur la participation en formation des plus démunis de notre société. Comment construire une société juste, dynamique, instruite où chaque individu peut jouer son rôle de citoyen quand près de la moitié de la population n’a pas les compétences jugées essentielles pour fonctionner dans notre société, dite du savoir.
Le gouvernement doit aussi s’assurer, car c’est là l’une de ses responsabilités, que chaque personne ait la possibilité de jouer ses rôles en tant que parent, travailleur et citoyen, ait accès à l’information et soit en mesure de se réaliser comme être humain. Nous nous en éloignons quotidiennement quand nous informatisons nos services, nous omettons de simplifier nos écrits publics ou simplement lorsque nous refusons de reconnaître le réel taux d’analphabétisme de notre province. Beaucoup de travail reste à faire pour mettre l’ensemble de notre population dans un réel processus d’apprentissage tout au long de la vie.
Actuellement, nous nous retrouvons, une fois encore, en période d’incertitude économique, de désengagement de l’État sous toutes ces formes, difficile de tabler sur une formule idéale mais on peut toujours rêver; ça ne coûte rien. Alors, je me permets de rêver, et sur ce rêve, je rejoins le discours d’une collègue, madame Caroline Meunier, à savoir qu’un gouvernement responsable et réaliste qui ne se cache pas la tête dans le sable avec les données de l’ÉIACA, 2003, devrait mettre de l’avant une stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme et de cette stratégie devra découler des actions tangibles qui auront un effet réel sur la participation en formation des plus démunis de notre société. Comment construire une société juste, dynamique, instruite où chaque individu peut jouer son rôle de citoyen quand près de la moitié de la population n’a pas les compétences jugées essentielles pour fonctionner dans notre société, dite du savoir.
Le gouvernement doit aussi s’assurer, car c’est là l’une de ses responsabilités, que chaque personne ait la possibilité de jouer ses rôles en tant que parent, travailleur et citoyen, ait accès à l’information et soit en mesure de se réaliser comme être humain. Nous nous en éloignons quotidiennement quand nous informatisons nos services, nous omettons de simplifier nos écrits publics ou simplement lorsque nous refusons de reconnaître le réel taux d’analphabétisme de notre province. Beaucoup de travail reste à faire pour mettre l’ensemble de notre population dans un réel processus d’apprentissage tout au long de la vie.
Maman va à l école - Dimanche 21 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Par des campagnes publicitaires ou projets régionaux misant sur la valorisation des formations et l’accroissement du sentiment de fierté à apprendre.
Fierté d’apprendre, fierté des enfants pour une maman qui retourne à l’école, fierté des profs de la réussite de leurs élèves. Fierté des apprenants qui participent aux activités de la SQAF, à la Grande Lecture,…Favoriser un engouement pour toute forme d’apprentissage, dont le thème serait, par exemple : ¨Aujourd’hui, j’ai appris…¨
Fierté d’apprendre, fierté des enfants pour une maman qui retourne à l’école, fierté des profs de la réussite de leurs élèves. Fierté des apprenants qui participent aux activités de la SQAF, à la Grande Lecture,…Favoriser un engouement pour toute forme d’apprentissage, dont le thème serait, par exemple : ¨Aujourd’hui, j’ai appris…¨
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Par la création d’une synergie autour d’un projet pour un Québec apprenant.
Campagnes positives mettant au jeu les partenaires du marché du travail et de l’éducation en médiatisant les bons coups, les réussites,…l’importance d’une formation professionnelle de qualité, d’une éducation de base pour tous dans un monde perpétuellement en changement. Miser sur l’idée qu’un dollar investit en éducation est la meilleure assurance de gains pour l’État et la société.
On pourrait aussi penser à un rendez-vous national annuel entre des apprenants adultes qui témoignent auprès de leur élu de leur parcours et de l’importance de la formation des adultes.
Campagnes positives mettant au jeu les partenaires du marché du travail et de l’éducation en médiatisant les bons coups, les réussites,…l’importance d’une formation professionnelle de qualité, d’une éducation de base pour tous dans un monde perpétuellement en changement. Miser sur l’idée qu’un dollar investit en éducation est la meilleure assurance de gains pour l’État et la société.
On pourrait aussi penser à un rendez-vous national annuel entre des apprenants adultes qui témoignent auprès de leur élu de leur parcours et de l’importance de la formation des adultes.
Denise Beauchesne - Vendredi 19 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Il y a, à mon avis, un débat politique à faire. Actuellement les Centres d'éducation des adultes sont devenus des centres d'adaptation scolaire et des centres de francisation, dans le cas des régions où la clientèle immigrante est importante. Je ne veux pas dire ici qu'il ne faut pas s'occuper des clientèles en adaptation scolaire et en francisation mais lorsque la majorité des ETP d'un Centre se comptabilise principalement pour ces 2 types de clientèle, je pense ue nous avons perdu le sens de l'éducation des adultes, tout au long de la vie....avec des clientèles diversifiées et dans différents milieux de vie.
De plus le MELS a intégré l'éducation des adultes au secteur régulier au grand plaisir des commissions scolaires qui n'ont jamais vraiment défendu les centres d'éducation des adultes.
On ajoute à cela le désintéressement évident du MELS et des CS envers les groupes communautaires¸ il n'y a qu'un pas pour s'assurer que l'éducation des adultes est menacée dans sa survie.
De plus le MELS a intégré l'éducation des adultes au secteur régulier au grand plaisir des commissions scolaires qui n'ont jamais vraiment défendu les centres d'éducation des adultes.
On ajoute à cela le désintéressement évident du MELS et des CS envers les groupes communautaires¸ il n'y a qu'un pas pour s'assurer que l'éducation des adultes est menacée dans sa survie.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Je réponds un peu à cette question à la question 1.
Je dirais: réunir les forces comme l'AQIFGA, les CS qui croient encore à l'EDA et les CEA qui croient au Régime pédagogique de lla FGA composé de 10 services d'enseignement et qui veulent défendre la survie de ces 10 services.
Il faut s'unir et intervenir auprès du MELS afin que la DEAAC puisse se remobiliser et qu'elle reprenne le flambeau comme l'a fait la DFGA dans les années 1990.
Une bataille politique est de mise, si on veut s'assurer de la survie de l'ÉDA
Je dirais: réunir les forces comme l'AQIFGA, les CS qui croient encore à l'EDA et les CEA qui croient au Régime pédagogique de lla FGA composé de 10 services d'enseignement et qui veulent défendre la survie de ces 10 services.
Il faut s'unir et intervenir auprès du MELS afin que la DEAAC puisse se remobiliser et qu'elle reprenne le flambeau comme l'a fait la DFGA dans les années 1990.
Une bataille politique est de mise, si on veut s'assurer de la survie de l'ÉDA
Regroupement des groupes populaires en alphabétisation du Québec - Vendredi 19 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Par la mise en valeur des différentes facettes de l’éducation des adultes et de la formation continue : poursuivre et intensifier la promotion des mille et une façons d’apprendre;
Par une vaste campagne sociétale visant à faire comprendre : la réalité des personnes peu alphabétisées au Québec; les causes de l’analphabétisme et ses conséquences sur les individus et la société. La campagne devrait permettre également de combattre les préjugés vis-à-vis des personnes peu alphabétisées;
Par une vaste campagne de valorisation de l’alphabétisation et de la formation de base chez les adultes. Cette campagne devrait faire valoir les retombées positives, tant pour les individus que pour la collectivité, d’une démarche de formation et l’importance de l’alphabétisation comme socle de l’éducation tout au long de la vie. Faire valoir le message de diverses façons, sur une longue période, à plusieurs reprises et sur de multiples tribunes pour joindre le plus grand nombre d’individus possible;
Ne pouvant limiter les actions de valorisation et de promotion au seul niveau national, il faut donner les moyens financiers et logistiques aux acteurs du terrain. Ceux-ci sont les mieux placés pour prendre les moyens adaptés à leur milieu et aux personnes qu’ils veulent sensibiliser. À titre d’exemple, les organismes d’alphabétisation populaire ont développé au fil du temps diverses stratégies leur permettant une action efficace sur leur terrain en matière de sensibilisation et de recrutement des adultes peu alphabétisés. Toutefois, les ressources manquent cruellement pour assurer une action soutenue en la matière;
Enfin, les adultes en formation étant souvent les meilleurs ambassadeurs de l’éducation tout au long de la vie, ceux-ci devraient être mis à contribution dans les stratégies visant sa promotion et sa valorisation ou dans toute campagne de sensibilisation.
Par une vaste campagne sociétale visant à faire comprendre : la réalité des personnes peu alphabétisées au Québec; les causes de l’analphabétisme et ses conséquences sur les individus et la société. La campagne devrait permettre également de combattre les préjugés vis-à-vis des personnes peu alphabétisées;
Par une vaste campagne de valorisation de l’alphabétisation et de la formation de base chez les adultes. Cette campagne devrait faire valoir les retombées positives, tant pour les individus que pour la collectivité, d’une démarche de formation et l’importance de l’alphabétisation comme socle de l’éducation tout au long de la vie. Faire valoir le message de diverses façons, sur une longue période, à plusieurs reprises et sur de multiples tribunes pour joindre le plus grand nombre d’individus possible;
Ne pouvant limiter les actions de valorisation et de promotion au seul niveau national, il faut donner les moyens financiers et logistiques aux acteurs du terrain. Ceux-ci sont les mieux placés pour prendre les moyens adaptés à leur milieu et aux personnes qu’ils veulent sensibiliser. À titre d’exemple, les organismes d’alphabétisation populaire ont développé au fil du temps diverses stratégies leur permettant une action efficace sur leur terrain en matière de sensibilisation et de recrutement des adultes peu alphabétisés. Toutefois, les ressources manquent cruellement pour assurer une action soutenue en la matière;
Enfin, les adultes en formation étant souvent les meilleurs ambassadeurs de l’éducation tout au long de la vie, ceux-ci devraient être mis à contribution dans les stratégies visant sa promotion et sa valorisation ou dans toute campagne de sensibilisation.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Il est important de rappeler que le Canada et le Québec ont pris des engagements à l’échelle internationale à l’égard de l’éducation des adultes, et, spécifiquement et prioritairement face à l’alphabétisation, en signant la Déclaration de Hambourg et le Cadre d’action de Belém. Ces deux instruments confirment la nécessité d’agir en la matière : "[…] nous nous engageons à faire en sorte que tous aient la possibilité d'acquérir une éducation de base et d'entretenir cet acquis, et à créer dans tous les États membres un environnement de l'écrit à l'appui de l'oralité. Offrir la possibilité d'apprendre à tous, y compris aux laissés-pour-compte et aux exclus, voilà le souci le plus pressant." (UNESCO (1997). CONFINTÉA V – La Déclaration de Hambourg sur l’éducation des adultes, section 11.)
Il faut que ces engagements pris à l’international se répercutent concrètement dans les politiques nationales et qu’une réelle reconnaissance soit donnée à l’alphabétisation comme premier pas s’agissant d’assurer l’éducation tout au long de la vie tel que cela est énoncé dans le Cadre d’action de Belém : "Nous affirmons que l’alphabétisation est le fondement le plus important sur lequel s’édifie l’apprentissage global, inclusif et intégré tout au long et dans tous les aspects de la vie, pour tous les jeunes et tous les adultes." (UNESCO (2009). CONFINTÉA VI – Cadre d’action de Belém, section 4.)
Par conséquent :
Le gouvernement du Québec doit se donner une vision globale et cohérente du problème de l’analphabétisme, de ses liens notamment avec la pauvreté et le décrochage scolaire. Il doit mettre à contribution différents ministères dans la lutte contre l’analphabétisme et y allouer les ressources conséquentes. Le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport doit prendre un leadership sur cette question et inviter les acteurs gouvernementaux et sociaux à contribuer à l’élaboration d’une véritable stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme.
Il faut que ces engagements pris à l’international se répercutent concrètement dans les politiques nationales et qu’une réelle reconnaissance soit donnée à l’alphabétisation comme premier pas s’agissant d’assurer l’éducation tout au long de la vie tel que cela est énoncé dans le Cadre d’action de Belém : "Nous affirmons que l’alphabétisation est le fondement le plus important sur lequel s’édifie l’apprentissage global, inclusif et intégré tout au long et dans tous les aspects de la vie, pour tous les jeunes et tous les adultes." (UNESCO (2009). CONFINTÉA VI – Cadre d’action de Belém, section 4.)
Par conséquent :
Le gouvernement du Québec doit se donner une vision globale et cohérente du problème de l’analphabétisme, de ses liens notamment avec la pauvreté et le décrochage scolaire. Il doit mettre à contribution différents ministères dans la lutte contre l’analphabétisme et y allouer les ressources conséquentes. Le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport doit prendre un leadership sur cette question et inviter les acteurs gouvernementaux et sociaux à contribuer à l’élaboration d’une véritable stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme.
Diane Blaquière - Vendredi 12 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Reconnaitre la compétence des autodidactes
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Ouvrir le milieu de l'éducation qui est beaucoup trop défensif et exclusif! L'intellectualisation rate la cible pour de nombreuses clientèles exclues!
Colette Bérubé, Ph. D. - Vendredi 12 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Continuer impérativement « La Semaine québécoise des apprenants adultes » ;
Créer des alliances formelles avec la Fondation pour l'alphabétisation des adultes, notamment au sein du C.A. de l'ICÉA ;
Élargir les partenariats avec les regroupements d'employeurs, au sein même de l'ICÉA, lesquels sont souvent réfractaires à la formation de leur main-d'œuvre surtout dans les PME ;
Publiciser, à l'aide des réseaux sociaux, l'importance d'une telle reconnaissance ;
Renforcer l'alliance historique avec Le Devoir, en publiant des articles de vulgarisation scientifique, des comptes rendus d'activités diverses dont La Semaine des adultes apprenants, et en publier deux fois l'an un Cahier spécial sur l'éducation et la formation continue des adultes ;
Faire circuler largement le Bulletin de l'ICÉA dans La Presse et Le Soleil, ayant un plus large lectorat au Québec., sur la base d'une alliance formelle avec ces quotidiens.
Créer des alliances formelles avec la Fondation pour l'alphabétisation des adultes, notamment au sein du C.A. de l'ICÉA ;
Élargir les partenariats avec les regroupements d'employeurs, au sein même de l'ICÉA, lesquels sont souvent réfractaires à la formation de leur main-d'œuvre surtout dans les PME ;
Publiciser, à l'aide des réseaux sociaux, l'importance d'une telle reconnaissance ;
Renforcer l'alliance historique avec Le Devoir, en publiant des articles de vulgarisation scientifique, des comptes rendus d'activités diverses dont La Semaine des adultes apprenants, et en publier deux fois l'an un Cahier spécial sur l'éducation et la formation continue des adultes ;
Faire circuler largement le Bulletin de l'ICÉA dans La Presse et Le Soleil, ayant un plus large lectorat au Québec., sur la base d'une alliance formelle avec ces quotidiens.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Continuer de demander la subvention annuelle du MELS quant à la Semaine québécoise des adultes apprenants ;
Continuer de demander des subventions au Ministère de l'Emploi et de la Solidarité, cosignataire et coresponsable de la Politique d'éducation et de formation continue des adultes ;
Élargir un partenariat formel avec le Ministère des municipalités et des régions, afin que les MRC et les établissements scolaires travaillent ensemble et établissent des ententes sur la relation formation-emploi en fonction des réalités régionales.
Continuer de demander des subventions au Ministère de l'Emploi et de la Solidarité, cosignataire et coresponsable de la Politique d'éducation et de formation continue des adultes ;
Élargir un partenariat formel avec le Ministère des municipalités et des régions, afin que les MRC et les établissements scolaires travaillent ensemble et établissent des ententes sur la relation formation-emploi en fonction des réalités régionales.
Carrefour de participation, ressourcement et formation - Jeudi 11 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Favoriser une culture et une ambiance de formation continue tant dans des parcours précis que dans l'action citoyenne. Valoriser les apprentissages faits au cours des engagements citoyens divers, lieux de transmissions d'expériences et de compétences variée.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
En sortant d'une vision de formation seulement axer sur les parcours vers l'emploi mais ouvrir à une vision au développement des compétences citoyennes et politiques des adultes qui leur permettent d'agir efficacement et de prendre leur place et la parole dans les enejux sociaux qui les concernent.
Geneviève Talbot - Mercredi 10 Avril 2013
1. Comment renforcer, au sein de la société, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Encourager la reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) à l'entrée en formation, entre autres.
Crédit d'impôts supplémentaires pour les adultes qui retournent en formation.
Crédit d'impôts supplémentaires pour les adultes qui retournent en formation.
2. Comment renforcer, au sein du gouvernement, la reconnaissance de l’éducation et la formation des adultes ?
Plus de campagnes publicitaires sur les avantages sociétaires de l'éducation des adultes, plus de fonctionnaires travaillant dans ce champs.
Développer ce champ de recheche, par des subventions supplémentaires, et développer des bases de données statistiques favorisant la collecte de données.
Développer ce champ de recheche, par des subventions supplémentaires, et développer des bases de données statistiques favorisant la collecte de données.