Conférence de bilan à mi-parcours de CONFINTEA VI : relancer la réalisation des engagements
Les 25, 26 et 27 octobre dernier, l’UNESCO tenait une conférence internationale de bilan à mi-parcours de la déclaration de la sixième conférence internationale sur l’éducation des adultes (CONFINTEA VI), tenue en 2009, au Brésil. L’ICÉA était représenté à cette conférence dont les conclusions appellent à la tenue de CONFINTEA VII, en 2021, et, d’ici cette prochaine conférence, à compléter avec urgence la mise en œuvre des engagements de la déclaration de CONFINTEA VI.
Le 21 novembre prochain, l'ICÉA présentera des portraits d’organismes fragilisés par les réductions du financement public dédié à l'éducation et lancera les nouvelles éditions de sa publication en ligne, Apprendre + Agir, et de ses indicateurs de l’éducation. L'ICÉA convie ses membres, ses partenaires et toutes les personnes intéressées à venir découvrir ces nouveautés de l’année 2017.
À l’occasion de la conférence internationale de bilan à mi-parcours de la mise en œuvre de la déclaration de CONFINTEA VI, l’ICÉA rend public un rapport sur la performance canadienne, relative aux engagements de cette déclaration. Ce rapport a été produit à la demande et avec l’appui de la Commission canadienne pour l’UNESCO. L’ICÉA sera représenté à la conférence de bilan à mi-parcours, qui a lieu les 25, 26 et 27 octobre 2017. 
Depuis 1949, l’UNESCO organise des conférences internationales sur l’éducation des adultes. En 2009 se tenait la sixième conférence appelée CONFINTEA VI. Le Canada et, ce faisant, le Québec se sont engagés à appliquer la déclaration adoptée en 2009. Huit années après l’adoption de la déclaration, l’ICÉA a fait un bilan de mi-parcours.
L’adéquation entre la formation et l’emploi est un sujet d’actualité au Québec, au Canada et ailleurs dans le monde. La forme qu’elle devrait prendre, ses finalités et même sa raison d’être sont des sujets de débats pour le gouvernement, les grands acteurs sociaux, les partenaires du marché du travail, les entreprises ainsi que les travailleuses et les travailleurs. Cependant, que sait-on vraiment de la recherche d’adéquation entre la formation et l’emploi? Comment s’opère-t-elle? À quels défis répond-elle? À l’instar de plusieurs acteurs sociaux et de nombreuses personnes, l'ICÉA s’interroge.
La nouvelle édition du bulletin de l’ICÉA est disponible. Cette année, nous mettons à l’essai une nouvelle formule de notre bulletin. Celle-ci fera place à des articles d’analyse et à de l’information sur les activités de l’ICÉA. 
Le 8 septembre 2017 marque le début de l’Année de l’histoire de l’éducation des adultes. Cet événement est une campagne de valorisation et de célébration de la riche histoire de l’éducation des adultes. Initiée par l’ICÉA, à l’occasion de la célébration de son 70e anniversaire de fondation, l’Année de l’histoire de l’éducation des adultes est réalisée en partenariat avec la Faculté de l’éducation permanente de l’Université de Montréal et le Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine (CDEACF). 
Vendredi dernier, le 8 septembre, avait lieu la journée internationale de l'alphabétisation. Dans la foulée de cette journée, l'ICÉA réagit à un texte de monsieur Pierre Fortin, économiste, qui traitait du niveau d’analphabétisme au Québec. Le texte de M. Fortin a été publié en juillet dernier dans l'Actualité. L’idée principale de son papier consiste à dire qu’il est franchement exagéré d’avancer que 53 % de la population québécoise est analphabète fonctionnelle.
En cette Journée internationale de l’alphabétisation, l’ICÉA joint sa voix au Réseau de lutte à l’analphabétisme, dans sa demande que le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport consulte les acteurs concernés dans l’élaboration d’une stratégie annoncée en matière d'alphabétisation. 
La politique de la réussite éducative, déposée par le ministre Sébastien Proulx le 21 juin dernier, introduit une vision qui pense l’éducation tout au long de la vie en partant de la petite enfance et se poursuivant toute la vie durant. En ce sens, elle répond en partie à la première recommandation énoncée par l’ICÉA dans son mémoire présenté dans le cadre de la consultation sur la politique de la réussite éducative. Par ailleurs, tant la politique que le gouvernement du Québec lui-même s’engagent à placer l’éducation au « cœur de ses priorités » (p. 67, 71) et au « cœur des valeurs de la société québécoise » (p. 67). L’ICÉA se réjouit que le ministère de l’Éducation et le gouvernement adoptent ces perspectives qui sont essentielles pour construire une société apprenante. 