Troisième Thème
Un Québec apprenant doit s’appuyer sur la collaboration des milieux et des réseaux de l’éducation et de la formation des adultes.
Ajoutez votre opinionFormation de base pour le développement de la main-d oeuvre - Lundi 22 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Reconnaitre l’ensemble des organisations qui œuvrent en formation des adultes et respecter leurs spécificités et leurs différences. Apprendre à travailler ensemble tout en respectant la mission, les valeurs et l’approche de chacun. Les besoins de formation et les clientèles étant si diversifiés, tout le monde peut y trouver sa place et cette diversification est et doit être perçue comme une richesse.
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Ouverture à travailler avec différents partenaires (acteurs du milieu des affaires, du milieu syndical, CSMO, ministères, etc.) afin que les milieux de travail soient officiellement reconnus comme lieux d’apprentissage des compétences de base, des compétences numériques et de la francisation.
Judith Bujold - Lundi 22 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Ça serait intéressant que les commissions scolaires s'ouvrent un peu plus aux alternatives de formation...
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Le Carrefour jeunesse-Emploi Avignon-Bonaventure (pour lequel je répond aujourd'hui en tant que conseillère d'lorientation) est prêt à collaborer au développement d'entreprises d'insertion, par exemple en offrant des ateliers, de la supervision, des références etc...
Lucille Roy - Lundi 22 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Actuellement, les organisations sont au fil de départ de la course au financement organisée par nos dirigeants, nos gouvernements ; sans doute que le slogan de la course est diviser pour mieux régner. Il faudra peut être mettre de la pression pour que ce type de financement au plus méritant soit aboli et qu’on travaille à bâtir ensemble plutôt que de compétitionner entre nous.
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Un projet qui se veut rassembleur et qui travaille d’abord à solidifier le maillon le plus faible de la chaîne de la formation des adultes, c’est-à-dire les personnes analphabètes.
Maman va à l école - Dimanche 21 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Stimuler et encourager la concertation et la coopération entre tous les acteurs
Faire de la place aux projets école-famille-communauté. S’inscrire dans un mouvement de complémentarité et non de compétitivité. Développer le travail en collaboration et s’inspirer de projets de partenariat.
Faire de la place aux projets école-famille-communauté. S’inscrire dans un mouvement de complémentarité et non de compétitivité. Développer le travail en collaboration et s’inspirer de projets de partenariat.
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Maman va à l’école est intéressé à travailler en partenariat avec d’autres organismes (institutionnels et communautaires) pour contribuer à une information efficace et favoriser l’accès à la formation, particulièrement des parents monoparentaux.
Denise Beauchesne - Vendredi 19 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
J'avoue que je ne sais plus. Je suis désolée de ce qui se passe et j'ai de la difficulté à voir le COMMENT FAIRE?
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Je suis retraitée, membre de l'AQIFGA....j'ai longtemps lutté. Je ne sais pas vraiment ce que je peux faire....la mobilisation sur un terrain commun et une idéologie commune restera toujours la façon de se faire entendre....à mon avis
Regroupement des groupes populaires en alphabétisation du Québec - Vendredi 19 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Des conditions à mettre en place pour favoriser la collaboration entre les organisations : Reconnaissance mutuelle entre les organisations, soit la reconnaissance de leur mission respective, de leurs spécificités, de leurs différences, des contraintes auxquelles chacune des organisations doit faire face, des ressources financières et humaines à leur disposition, etc.;
Partir des points qu’ont en commun les organisations pour faire un bout de chemin ensemble, mettre de côté leurs différends et travailler sur ce qui les rassemble, leurs intérêts communs, c’est-à-dire les adultes et leurs besoins;
Créer des lieux de rencontre pour apprendre à se connaître et faire tomber les préjugés;
Créer des lieux de rencontre pour partager leurs analyses et leurs expertises;
Ne pas faire reposer les relations entre organisations sur une seule personne au sein de chacune des organisations, mais sur leur équipe et leur instance décisionnelle.
Pour des collaborations en matière de référence :
"L’entrée en formation est un moment crucial pour les personnes peu alphabétisées. La plupart se présente avec beaucoup d’appréhension, et un mauvais départ peut signifier la fin prématurée du projet éducatif. Des témoignages d’adultes confirment l’importance du premier contact. D’autant plus qu’entre le moment de la prise de décision d’entrer en formation et l’inscription à proprement dite, il peut s’écouler plusieurs mois, voire jusqu’à un an ! Les adultes rencontrés par [un] groupe de recherche de l’UQÀR confirment aussi que lorsque l’accueil est déficient, où qu’ils sont relégués à un niveau inférieur à la suite d’un test de classement, les risques d’abandon sont élevés. Et un échec lors d’une tentative de retour en formation a un impact important, qui peut éloigner pour très longtemps, voire à jamais, une personne des milieux de formation." (Extrait du mémoire du RGPAQ sur l’accès à l’éducation et à la réussite éducative présenté au Conseil supérieur de l’éducation, 2009, p.11)
Considérant ce qui précède, les SARCA et les CLE doivent être, pour les adultes peu alphabétisés et peu scolarisés, des lieux où ils peuvent recevoir une information privilégiée sur les formations adaptées à leurs besoins. Pour ce faire, ces services doivent bien connaître la réalité concrète de ces adultes d’une part, et, d’autre part, leur milieu et les organismes offrant des formations adaptées à ces personnes. Une collaboration soutenue avec le milieu est essentielle pour bien diriger les adultes vers la formation la plus appropriée pour eux. La suite du parcours de formation et sa réussite étant tributaires de l’accueil reçu au début de la démarche menant au retour en formation.
Malheureusement, préjugés et méconnaissance perdurent entre ces services et les organismes communautaires. "L’expérience des groupes d’alphabétisation populaire le démontre, la qualité des relations entre les CLE et les groupes d’alphabétisation populaire a un impact majeur au niveau de la référence. Également, les agents des CLE ont un pouvoir énorme s’agissant de favoriser ou de défavoriser la poursuite de la démarche d’alphabétisation populaire d’un adulte. Il faut renforcer la connaissance qu’ont les CLE du réseau de l’alphabétisation populaire et encourager davantage la collaboration CLE-groupes d’alphabétisation populaire ainsi que la référence des CLE aux groupes." (Extrait de l’avis du RGPAQ présenté au MÉLS dans le cadre de la consultation en vue d’un bilan synthèse consolidé de la mise en œuvre du plan d’action 2002-2007 et pour la détermination de priorités à retenir dans le cadre de l’élaboration du plan d’action 2008-2013, 2007, p.7)
Enfin, le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale ainsi qu’Emploi-Québec doivent mettre en place les politiques et les conditions favorisant de telles collaborations sur le terrain.
Partir des points qu’ont en commun les organisations pour faire un bout de chemin ensemble, mettre de côté leurs différends et travailler sur ce qui les rassemble, leurs intérêts communs, c’est-à-dire les adultes et leurs besoins;
Créer des lieux de rencontre pour apprendre à se connaître et faire tomber les préjugés;
Créer des lieux de rencontre pour partager leurs analyses et leurs expertises;
Ne pas faire reposer les relations entre organisations sur une seule personne au sein de chacune des organisations, mais sur leur équipe et leur instance décisionnelle.
Pour des collaborations en matière de référence :
"L’entrée en formation est un moment crucial pour les personnes peu alphabétisées. La plupart se présente avec beaucoup d’appréhension, et un mauvais départ peut signifier la fin prématurée du projet éducatif. Des témoignages d’adultes confirment l’importance du premier contact. D’autant plus qu’entre le moment de la prise de décision d’entrer en formation et l’inscription à proprement dite, il peut s’écouler plusieurs mois, voire jusqu’à un an ! Les adultes rencontrés par [un] groupe de recherche de l’UQÀR confirment aussi que lorsque l’accueil est déficient, où qu’ils sont relégués à un niveau inférieur à la suite d’un test de classement, les risques d’abandon sont élevés. Et un échec lors d’une tentative de retour en formation a un impact important, qui peut éloigner pour très longtemps, voire à jamais, une personne des milieux de formation." (Extrait du mémoire du RGPAQ sur l’accès à l’éducation et à la réussite éducative présenté au Conseil supérieur de l’éducation, 2009, p.11)
Considérant ce qui précède, les SARCA et les CLE doivent être, pour les adultes peu alphabétisés et peu scolarisés, des lieux où ils peuvent recevoir une information privilégiée sur les formations adaptées à leurs besoins. Pour ce faire, ces services doivent bien connaître la réalité concrète de ces adultes d’une part, et, d’autre part, leur milieu et les organismes offrant des formations adaptées à ces personnes. Une collaboration soutenue avec le milieu est essentielle pour bien diriger les adultes vers la formation la plus appropriée pour eux. La suite du parcours de formation et sa réussite étant tributaires de l’accueil reçu au début de la démarche menant au retour en formation.
Malheureusement, préjugés et méconnaissance perdurent entre ces services et les organismes communautaires. "L’expérience des groupes d’alphabétisation populaire le démontre, la qualité des relations entre les CLE et les groupes d’alphabétisation populaire a un impact majeur au niveau de la référence. Également, les agents des CLE ont un pouvoir énorme s’agissant de favoriser ou de défavoriser la poursuite de la démarche d’alphabétisation populaire d’un adulte. Il faut renforcer la connaissance qu’ont les CLE du réseau de l’alphabétisation populaire et encourager davantage la collaboration CLE-groupes d’alphabétisation populaire ainsi que la référence des CLE aux groupes." (Extrait de l’avis du RGPAQ présenté au MÉLS dans le cadre de la consultation en vue d’un bilan synthèse consolidé de la mise en œuvre du plan d’action 2002-2007 et pour la détermination de priorités à retenir dans le cadre de l’élaboration du plan d’action 2008-2013, 2007, p.7)
Enfin, le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale ainsi qu’Emploi-Québec doivent mettre en place les politiques et les conditions favorisant de telles collaborations sur le terrain.
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme incluant des mesures de lutte contre la pauvreté : le MÉLS doit réunir les acteurs gouvernementaux et sociaux concernés afin que nous nous donnions une vision commune du problème de l’analphabétisme, de ses causes et de ses conséquences ainsi que des solutions à mettre en œuvre (en amont, en aval, en périphérie !!!) pour mieux lutter contre l’analphabétisme.
Diane Blaquière - Vendredi 12 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Guichet unique avec satellites d'une même nomenclature locale... moins de guichets locaux de différents noms et dont le financement est obscur...???
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Ainés et âgisme au travail malgré qualifications importantes.... revoir le monde du travail pour équité générationnelle qui aiderait grandement le travail à certains âges ingrats de la carrière
Colette Bérubé, Ph. D. - Vendredi 12 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Briser les tabous et les préjugés sur la concertation patronale-syndicale-communautaire ;
Travailler des partenariats formels entre diverses organisations d'horizons multiples (communautaire, syndical, patronal) ;
Susciter des adhésions d'horizons multiples au sein des instances de l'ICÉA en fonction des intérêts collectifs de la population adulte.
Travailler des partenariats formels entre diverses organisations d'horizons multiples (communautaire, syndical, patronal) ;
Susciter des adhésions d'horizons multiples au sein des instances de l'ICÉA en fonction des intérêts collectifs de la population adulte.
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Aucun d'ici 2016. Entrée à la retraite le 1er septembre 2013, déménagement dans ma région d'origine (éloignée au Québec), épuisement et problèmes graves de santé après 43 ans de vie professionnelle et menée à un train d'enfer dont 35 ans en éducation et en formation continue des adultes.
Mes seules contributions à moyen terme, relatives à l'éducation des adultes, seront ma participation citoyenne aux assemblées publiques de ma petite municipalité, à ma coopérative d'aqueduc, à quelques articles de vulgarisation scientifique dans l'unique magazine régional et pérenne au Québec (50 ans) et à de petits articles de vulgarisation scientifique de nature historique dans le bulletin des descendants de ma famille (côté paternel).
À partir de 2017, si ma santé se rétablit, recherches à mon compte sur la formation de la main-d'œuvre (ma spécialisation) dans ma région d'origine, publication d'ouvrages issus de ces recherches, implication plus forte dans le comité de rédaction du magazine régional, recherches historiques et articles dans le bulletin de ma descendance, et nouveau rattachement à distance avec l'ICÉA.
Bref, je quitte pratiquement la sphère publique qui fut le chemin de ma vie d'implication sociale et professionnelle depuis 1957.
Mes seules contributions à moyen terme, relatives à l'éducation des adultes, seront ma participation citoyenne aux assemblées publiques de ma petite municipalité, à ma coopérative d'aqueduc, à quelques articles de vulgarisation scientifique dans l'unique magazine régional et pérenne au Québec (50 ans) et à de petits articles de vulgarisation scientifique de nature historique dans le bulletin des descendants de ma famille (côté paternel).
À partir de 2017, si ma santé se rétablit, recherches à mon compte sur la formation de la main-d'œuvre (ma spécialisation) dans ma région d'origine, publication d'ouvrages issus de ces recherches, implication plus forte dans le comité de rédaction du magazine régional, recherches historiques et articles dans le bulletin de ma descendance, et nouveau rattachement à distance avec l'ICÉA.
Bref, je quitte pratiquement la sphère publique qui fut le chemin de ma vie d'implication sociale et professionnelle depuis 1957.
Carrefour de participation, ressourcement et formation - Jeudi 11 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
Favoriser une meilleurs connaissance et reconnaissances des divers lieux formels et informel et des divers modes d'apprentissage.
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
Geneviève Talbot - Mercredi 10 Avril 2013
1. Comment susciter et mettre en valeur les collaborations entre nos organisations?
-Favoriser les lieux et les plates-formes d'échanges (rencontres, web, partenariats concrets).
2. À quel projet collectif pourrais-je collaborer?
-Un projet social d'éducation des adultes à grande échelle, systémique (à couleur internationale) qui fait du Québec un leader en la matière.